Carlos Gardel erre autour de moi une nouvelle fois…
Il porte mon esprit qui ne savait où se rendre… Il s’est réfugié dans sa voix envoûtante, il aimerait se libérer de l’Attente.
Voyager selon ses notes claires et accueillantes. Oublier qu’il est assis. Et se fondre dans sa vague onctueuse, et vibrer dans un même corps… Se laisser soulever, perdre de vue la matérialité qui l’entoure et couler dans un flou substantiel. Sa musicalité le transperce, mal d’existence…
Rajuste ses bornes. Apaise le.
Pourquoi tant de tristesse ? Aide-la à sécher, essore-la dans la poignée de main que tu me tends…
Lent balancier lentement s’élève, tu le sais.